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Guide des zecs 2024
Découvrez les activités et services offerts par les 63 zecs de chasse et de pêche du Québec
Gestion des lacs
On retrouve 16 480 lacs et 298 rivières dans le Réseau zec. Voilà une raison pour laquelle les gestionnaires de zecs ont recours à diverses stratégies de gestion de la faune aquatique. Celles-ci peuvent être propres à un plan d’eau. Par exemple, les zecs peuvent réduire la limite quotidienne de prise et possession, différer l’ouverture de la pêche, modifier les engins de pêche, restreindre la gamme de taille, avoir recours à des ensemencements ou encore fermer un lac afin de protéger la ressource.
- Pamphlet sur la consommation du poisson de pêche sportive en eau douce
- L'ABC de l'habitat du poisson - Guide pour comprendre l'habitat du poisson en eau douce (2011)
- Habitat du poisson - Guide de planification, de réalisation et d'évaluation d'aménagements (1996)
- Fiche technique sur la protection de l'habitat du poisson - Nettoyage léger des cours d'eau (2003)
- Fiche technique sur la protection de l'habitat du poisson - Stabilisation du milieu riverain (2003)
- Fiche technique sur la protection de l'habitat du poisson - Les ponts et les ponceaux (2003)
- Outil d'aide à l'ensemencement des plans d'eau - Information générale
- Outil d'aide à l'ensemencement des plans d'eau - Omble de fontaine
- Outil d'aide à l'ensemencement des plans d'eau - Touladi
- Outil d'aide à l'ensemencement des plans d'eau - Doré jaune
- Outil d'aide à l'ensemencement des plans d'eau - Omble moulac
- Outil d'aide à l'ensemencement des plans d'eau - Ouananiche
- Outil d'aide à l'ensemencement des plans d'eau - Truite arc-en-ciel
- Outil d'aide à l'ensemencement des plans d'eau - Truite brune
Orignal
La chasse à l’orignal (Alces alces) est ancrée dans la tradition et le patrimoine québécois. C’est le plus grand cervidé de nos forêts et il attire à lui seul près de 25 000 chasseurs à travers le réseau. On retrouve cet animal dans toutes les zecs! Que ce soit dans un poste d’affût, à la chasse fine ou en parcourant les chemins forestiers, la quête de ce gibier est source d’adrénaline chez les chasseurs.
- Plan de gestion de l'orignal 2012-2019
- Pamphlet sur la tique d'hiver de l'orignal - Un parasite à surveiller
- Partenariat de recherche sur les relations Tique-Orignal-Climat
- Guide d'aménagement de l'habitat de l'orignal (2002)
- Analyse des opportunités visant à favoriser l'accessibilité à la chasse au gros gibier (2014)
Cerf de Virginie
Le cerf de Virginie (Odocoileus virginianus) est un animal fringant et discret qui s’avère difficile à déjouer. On le connait également sous son nom familier : le chevreuil. Principalement présent dans les zecs plus au sud, ce gibier attire autour de 2 800 chasseurs annuellement au sein du réseau.
Ours noir
L’intérêt pour la chasse à l’ours noir (Ursus americanus) est en effervescence au Québec. L’ours est présent sur la quasi-totalité des forêts québécoises et cette espèce est chassée principalement au printemps. Ce sont 1500 chasseurs annuellement qui tentent leur chance pour ce gibier. Fait intéressant, c’est un animal à double statut : il peut être prélevé par la chasse et par la trappe.
De plus, selon plusieurs recherches, la venaison d’ours est plus appréciée que tout autre gibier québécois. D’ailleurs, des tests de dégustation à l’aveuglette ont démontré que la viande d’ours arrive souvent en première place, devant l’orignal, le caribou et le chevreuil
Il s’agit d’une excellente activité pour s’initier à la chasse au gros gibier puisque peu de gens la pratiquent actuellement, ce qui engendre une grande disponibilité de l’animal sur le territoire. Plusieurs zecs ont pris des moyens pour développer cette chasse sur leur territoire avec succès.
Caribou
Petit gibier
La chasse au petit gibier est l’activité de plein air par excellence pour éprouver du plaisir seul, entre amis, en famille ou encore pour initier la relève à la chasse. Cette chasse est populaire au sein des zecs et elle attire annuellement de plus en plus de chasseurs. L’équipement nécessaire est minimal : permis, dossard, fusil. Voilà, le tour est joué! Parmi les espèces exploitées, on retrouve la gélinotte huppée (Bonasa umbellus) qui constitue pas moins de 80 % des prises. Autrement, il est possible de chasser le tétras du Canada (Falcipennis canadensis) et le lièvre d’Amérique (Lepus americanus). Les chasseurs récoltent également dans certaines zecs des canards, la bernache du Canada (Branta canadensis), la bécasse d’Amérique (Scolopax minor) et même le faisan (Phasianus colchicus).
- Plan de gestion du petit gibier 2011-2018
- Manuel d'aménagement des boisés privés pour la petite faune (1996)
- Aménagement des boisés et terres privés pour la faune - la gélinotte huppée (1996)
- Guide d'aménagement de l'habitat de la gélinotte huppée pour les forêts mixtes du Québec (2010)
- Favoriser la GIR de la gélinotte hupée dans les zecs de la Capitale-Nationale (2015)
- Aménagement des boirés et terres privés pour la faune - le tétras du Canada (1996)
- L'habitat du tétras du Canada - Guide d'aménagement (2020)
- Guide d'aménagement - L'habitat du lièvre d'Amérique au Québec (2021)
Planification forestière
Au Québec, en vertu de la Loi sur l’aménagement durable du territoire forestier, le Ministère est responsable de la planification des activités d’aménagement forestier dans les forêts du domaine de l’État. Cette planification se concrétise par la préparation de plans d’aménagement forestier intégré (PAFI) à l’échelle de chaque unité d’aménagement.
En 2013, l’entrée en vigueur d’un nouveau régime forestier a entraîné des changements importants en matière de gestion des forêts, notamment en ce qui concerne la planification forestière. Ainsi, pour mieux répondre à certains grands enjeux du secteur forestier, tels que la régionalisation, l’aménagement écosystémique et la gestion intégrée des ressources et du territoire, les PAFI ont remplacé les plans généraux d’aménagement forestier (PGAF) et les plans annuels d’intervention forestière (PAIF). Alors que ces plans étaient auparavant sous la responsabilité des industriels, les PAFI sont maintenant élaborés par le Ministère en collaboration avec les tables locales de gestion intégrée des ressources et du territoire (TLGIRT) et les tables opérationnelles (TO). Ils comportent un volet tactique (PAFI-T) et un volet opérationnel (PAFI-O).
Table locale de gestion intégrée des ressources et du territoires (TLGIRT)
En vertu de l'article 55 de la Loi sur l'aménagement durable du territoire forestier (A-18.1), le ministre a la responsabilité d’élaborer la planification forestière, en collaboration avec la table locale de gestion intégrée des ressources et du territoire (TLGIRT). Cette table est mise en place dans le but d’assurer une prise en compte des intérêts et des préoccupations des personnes et des organismes concernés par les activités d’aménagement forestier sur le territoire public.
La TLGIRT est un des moyens pour que le Ministère prenne en compte les intérêts et les préoccupations des utilisateurs du territoire forestier lors de l'élaboration des plans d'aménagement forestier intégré (PAFI). Cette table est un lieu d’échanges et d’information pour le Ministère et les acteurs du milieu local concernés par les activités d’aménagement forestier. Les participants s’y rencontrent, y expriment leurs intérêts par rapport au milieu forestier et leurs attentes concernant les activités d’aménagement planifiées sur le territoire visé.
- Guide de la table locale de gestion intégrée des ressources et du territoire (2018)
- Capsule vidéo #1 - Qu'est-ce que la gestion intégrée des ressources et du territoire
- Capsule vidéo #2 - Ma participation dans la gestion intégrée des ressources et du territoire
- Capsule vidéo #3 - Comment arriver préparé à une TLGIRT
- Fiche synthèse de la capsule vidéo #3
- Capsule vidéo #4 - Enjeux concernant les chemins multiusages
- Fiche synthèse de la capsule vidéo #4
- Capsule vidéo #5 - Enjeux concernant l'habitat du gros gibier
- Fiche synthèse de la capsule vidéo #5
- Capsule vidéo #6 - Enjeux concernant l'habitat du petit gibier
- Fiche synthèse de la capsule vidéo #6
Harmonisation des chantiers de coupes forestières
Lorsque les enjeux d’aménagement sont d’ordre régional, ou qu’ils concernent un grand nombre d’intervenants, les intervenants à la TLGIRT présentent leurs recommandations au MFFP. Celui-ci peut les intégrer en totalité, en partie ou pourrait ne pas les intégrer. Une mesure d’harmonisation des usages (MHU) peut notamment modifier le traitement sylvicole (i.e. prescription sylvicole), la délimitation du secteur d’intervention ou la localisation d’une infrastructure principale, mais ne doit pas modifier le déroulement des opérations sur le terrain. C’est le MFFP qui est responsable du contrôle et de la reddition de comptes, lorsque des MHU sont retenues.
Lorsque les préoccupations concernent le déroulement des travaux relatifs à la récolte de matière ligneuse sur un territoire spécifique (calendrier des opérations forestières, transport, construction/amélioration/entretien des chemins), c’est alors le bénéficiaire de garanties d’approvisionnement désigné (BGAD) qui est responsable de rencontrer le gestionnaire de zec directement. À l’exception des travaux non commerciaux (traités par le MFFP), les mesures d’harmonisation opérationnelle (MHO) sont convenues entre les parties concernées et peuvent être consignées (ou non) par entente. Ces derniers sont également responsables d’assurer le respect des MHO convenues.
- Consultations sur les plans d'aménagement forestier intégré
- Cadre pour un processus d'harmonisation - harmonisation des usages
- Cadre d'un mécanisme de règlement des différends - harmonisation des usages
- Cadre d'un mécanisme de règlement des différends - harmonisation opérationnelle
- Guide d'intégration des habitats fauniques à la planification forestière (2012)
- Mesures d'harmonisation - Sites d'intérêt faunique dans les zecs (2013)
- Rapport #6-6480-0262 - Bilan de l'harmonisation opérationnelle entre tiers (visite terrain)
- Guide de bonnes pratiques pour faciliter l'harmonisation en forêt (2021)
Traitements sylvicoles
Lors de la confection des plans d’aménagement forestier, une foule de traitements sylvicoles sont présentés. À cet effet, les traitements sylvicoles sont regroupés en trois grandes familles. Premièrement, on retrouve les coupes de régénération (CR), les coupes partielles (CP) et finalement les travaux sylvicoles. Les traitements sont reliés à des scénarios sylvicoles et à une stratégie d’aménagement forestier pour chaque unité d’aménagement forestier.
- Programmation annuelle (PRAN) des interventions forestières
- Visites virtuelles de coupes forestières - Mauricie
- Répertoire illustré des traitements sylvicoles en forêt boréale
- Guide de vulgarisation et de visualisation des traitements sylvicoles (2011)
- La sylviculture intensive de plantations dans un contexte d'aménagement écosystémique (2013)
Travaux de construction ou d'amélioration d'un chemin
Selon l'article 2 du règlement sur l'aménagement durable des forêts du domaine de l'État (RADF) :
« travaux de construction d’un chemin, d’un pont ou d’un ponceau » : des travaux réalisés en vue de construire un chemin ou un tronçon de chemin à un nouvel endroit, y compris les travaux de construction des ponts et des ponceaux de ce chemin;
« travaux d’amélioration d’un chemin, d’un pont ou d’un ponceau » : des travaux réalisés en vue de bonifier un chemin ou un tronçon de chemin, y compris les ponts et les ponceaux de ce chemin, par rapport à l’état qu’il avait lors de sa construction ou de sa plus récente amélioration, selon le cas. Dans le cas d’un chemin, ces travaux comprennent, entre autres : les opérations destinées à augmenter la classe du chemin, notamment par son élargissement; la correction du tracé; l’adoucissement des pentes et l’ajout de dispositifs de sécurité tels que des glissières. Dans le cas d’un pont ou d’un ponceau, ces travaux comprennent, entre autres : le remplacement de l’ouvrage par un ouvrage d’un type différent, tel le remplacement d’un ponceau comportant un conduit par un ponceau comportant une arche, et les modifications à la structure d’un pont pour en augmenter la capacité portante;
Travaux d'entretien ou de réfection d'un chemin
Selon l'article 2 du règlement sur l'aménagement durable des forêts du domaine de l'État (RADF) :
« travaux d’entretien d’un chemin, d’un pont ou d’un ponceau » : des travaux réalisés en vue de prévenir la dégradation d’un chemin ou d’un tronçon de chemin, y compris les ponts et les ponceaux de ce chemin, afin que celui-ci se maintienne dans l’état où il était lors de sa construction ou de sa plus récente amélioration, selon le cas. Dans le cas d’un chemin, ces travaux comprennent, entre autres : le nivelage et le rechargement de la chaussée, pourvu qu’ils n’entraînent pas une nouvelle classification du chemin; le nettoyage et le creusage des fossés; l’installation ou le remplacement de conduits de drainage; la réparation de la stabilisation des talus; le débroussaillage de l’emprise pour assurer la visibilité; l’épandage d’abat-poussières et l’épandage d‘abrasifs sur un chemin en hiver. Dans le cas d’un pont ou d’un ponceau, ces travaux comprennent, entre autres : le dégagement de l’entrée d’un ponceau et la réparation de la surface de roulement et des chasse-roues d’un pont;
« travaux de réfection d’un chemin, d’un pont ou d’un ponceau » : des travaux réalisés en vue de remettre un chemin ou un tronçon de chemin dégradé, y compris les ponts et les ponceaux de ce chemin, dans l’état où il était lors de sa construction ou de sa plus récente amélioration, selon le cas. Dans le cas d’un pont ou d’un ponceau, ces travaux comprennent, entre autres : le remplacement du conduit d’un ponceau par un nouveau conduit du même type et les modifications à la structure d’un pont qui permettent de maintenir sa capacité portante telles que la réfection ou le remplacement du tablier, d’une partie de la structure ou d’une partie ou de la totalité des culées;
- Guide de saines pratiques pour les chemins forestiers à faible utilisation (2022)
- Guide des saines pratiques d'entretien des chemins forestiers dans les zecs (2012)
- Guide abrégé des saines pratiques d'entretien des chemins forestiers dans les zecs
- Guide de signalisation routière dans les forêts du domaine de l’État (2021)
- Guide pour contrer l'érosion des chemins forestiers (2015)
- Gestion environnementale des fossés (2012)
- Déplacements en forêts (2017)
- Rapport du projet #6-6480-0231 - Réseau routier prioritaire dans les zecs (2018)
Traverses de cours d'eau
Selon l'article 2 du règlement sur l'aménagement durable des forêts du domaine de l'État (RADF) :
« ouvrage amovible » : un ouvrage aménagé temporairement pour franchir un cours d’eau;
« ponceau » : un ouvrage construit sous remblai comportant une arche ou au moins un conduit et des matériaux de stabilisation et qui permet à un chemin de franchir un obstacle, tel un cours d’eau;
« ponceau de bois» : un ponceau comportant une arche de bois;
« pont » : un ouvrage non construit sous remblai comportant des culées, parfois des piles, un tablier et des matériaux de stabilisation et qui permet à un chemin de franchir un obstacle, tel un cours d’eau;
- Norme relative aux ponts et aux ouvrages amovibles dans les forêts du domaine de l’État (2020)
- Procédure d’affichage de la capacité portante des ponts (2020)
- Traverses de cours d'eau et contrôle de l'érosion (2010)
- Lignes directrices pour les traversées de cours d'eau au Québec (2016)
- Méthode uniforme d'inventaire des traverses de cours d'eau dans les zecs (2016)
- État et durabilité des traverses de cours d'eau sur les chemins forestiers (2016)
- Outil Excel pour l'estimation des coûts d'installation ou de remplacement d'un ponceau
Déprédation du castor
Le castor (Castor canadensis) est un rongeur présent sur la grande majorité du territoire québécois. Il est reconnu pour sa capacité à modifier le paysage et les cours d'eau par la construction de barrages. Périodiquement, ces constructions peuvent menacer les infrastructures humaines ou inonder des terres privées. Il peut donc être nécessaire d'atténuer les impacts des barrages par des interventions préventives et parfois de déplacer, effaroucher ou même éliminer les castors déprédateurs et retirer les barrages. Ces travaux, bien qu'importants, voire urgents, peuvent cependant modifier l'habitat du poisson, affecter les riverains et détruire des habitats fauniques. Il est donc essentiel de procéder correctement afin de ne pas contrevenir à diverses lois et mettre en péril des habitats fauniques et des propriétés humaines.
- Guide pour la demande d'un permis SEG (2021)
- Guide d'aménagement et de gestion du territoire utilisé par le castor au Québec (2001)
- Contrôle des castors déprédateurs et démantèlement de barrages de castor (2017)
- Bien gérer les activités du castor, c'est rentable
- Guide sur la saine gestion du castor par la protection des ponceaux (2018)
Travaux de fermeture d'un chemin
Selon l'article 2 du règlement sur l'aménagement durable des forêts du domaine de l'État (RADF) :
« travaux de fermeture d’un chemin » : des travaux réalisés en vue d’empêcher l’accès à un chemin ou à un tronçon de chemin de façon temporaire ou permanente;
La fermeture d’un chemin doit être autorisée par le Ministère en vertu de la Loi sur le ministère des Ressources naturelles et de la Faune (art. 11.3) ou de la Loi sur l’aménagement durable du territoire forestier (art. 41).
Sites d'intérêt fauniques dans les zecs (SIFZ)
Les territoires fauniques structurés (TFS) sont vastes et recèlent une quantité importante d'habitats pour la faune et de paysages à préserver. Les sites exceptionnels dans les zecs ont été nommés des « sites d’intérêt fauniques dans les zecs (SIFZ) » et sont définis comme suit :
« Un lieu circonscrit, constitué d’un ou plusieurs éléments biologiques et physiques propices au maintien ou au développement d’une population ou d’une communauté faunique, dont la valeur biologique ou sociale le rend remarquable dans un contexte local ou régional (MRNF, 2005) ».
- Inventaire, mise à jour et cartographie des SIFZ (2018)
- Formulaire papier pour l'inventaire des SIFZ
- Formulaire iPad pour l'inventaire des SIFZ
- Recueil des enjeux de gestion intégrée dans les zecs du Québec (2014)
- Fiche résumé #1 - La détérioration du réseau de chemins forestiers
- Fiche résumé #2 - Les ponceaux : un frein aux déplacements du poisson
- Fiche résumé #3 - L'apparence des coupes dans le paysage
- Fiche résumé #4 - Le poisson dans tous ses habitats
- Évaluation des retombées des outils GIR dans les zecs (2016)
La valeur économique du Réseau Zec
Avec ses 48 000 km², les zecs forment le plus grand réseau faunique et aussi, le plus fréquenté. Au cours des dernières années, l’Université du Québec en Outaouais (UQO), l’Université Laval, l’Université de Sherbrooke, Mitacs, le ministère des Forêts, de la Faune et des Parcs (MFFP), les 63 zecs de chasse et pêche et Zecs Québec ont collaboré à une étude sur la valeur économique du Réseau Zec. Cette valeur s’inspire des trois aspects du développement durable; l’intégrité de l’environnement, l’équité sociale et l’efficience économique.
Les résultats de l’étude démontrent que les utilisateurs de zec génèrent d’importantes retombées économiques à la grandeur de la province. De plus, les sols et les forêts des zecs contribuent non seulement à la biodiversité, mais également à la préservation d’une planète en santé et à une réduction des gaz à effets de serre.
La valeur économique du Réseau Zec - Par région
Études et statistiques
Les forêts du Québec constituent un patrimoine collectif inestimable. Découvrez leur importance socio-économique et environnementale en consultant les différentes études disponibles ci-dessous :
- Enquête sur la pêche récréative au Canada (2010)
- Étude sur les chasseurs québécois en 2011
- Retombées économiques des activités de chasse, de pêche et de piégeage au Québec en 2012
- Étude des retombées économiques de l'activité des ZEC's de chasse et pêche de la Côte-Nord (2013)
- Intérêt pour la pêche chez les 25-44 ans (2014)
- Enquête sur les chasseurs québécois en 2016
- La faune et la nature, ça compte - Chasse sportive : des dépenses de 308 M$ par année (2018)
- Ressources et industries forestières du Québec - Portrait statistique 2019
- Portrait de l'industrie forestière au Québec : une industrie qui a besoin de l'État (2020)
Tordeuses des bourgeons de l'épinette
Dans le cadre de son programme d’intervention contre la tordeuse des bourgeons de l’épinete, la Société de protection des forêts contre les insectes et maladies (SOPFIM) réalisera cet automne le relevé automnal des larves en hibernation (L2) de la tordeuse des bourgeons de l’épinete (TBE) dans les forêts de certaines régions du Québec, soit la Côte-Nord, le Saguenay‒Lac-Saint-Jean, le Bas-Saint-Laurent, la Capitale-Nationale, la ChaudièreAppalaches, la Gaspésie, l’Abitibi-Témiscamingue, l’Outaouais et les Laurentides.
L’échantillonnage larvaire est réalisé dans les aires admissibles aux pulvérisations aériennes d’insecticide biologique. Cette étape nous renseigne sur les niveaux de population de TBE anticipés pour la prochaine saison estivale et permet de recueillir l’information pertinente à la mise en place des programmes annuels d’intervention. Cette action est primordiale à la réussite de notre programme de protection des forêts québécoises contre la tordeuse des bourgeons de l’épinette ! Mandatée par le gouvernement du Québec, la SOPFIM déploie toute son énergie à réduire les impacts de ce ravageur au bénéfice de l’ensemble des utilisateurs du milieu forestier.
L’échantillonnage larvaire débute en septembre pour se terminer au plus tard en novembre. Pour des raisons de sécurité et d’efficacité, il importe de franchir cete étape avant l’arrivée des conditions hivernales. Il est donc possible que vous rencontriez des employés de la SOPFIM en forêt. Ces derniers seront en devoir; nous vous prions d’être
indulgents si une telle situation se présente. Cependant, soyez assurés que nous faisons tout en notre possible pour minimiser notre présence près des territoires de chasse.
Pour de plus amples renseignements, n’hésitez pas à visiter le site Internet de la SOPFIM
(www.sopfim.qc.ca). Vous pouvez également communiquer avec nous à l’adresse
électronique sopfim@sopfim.qc.ca ou au numéro 1 877 224-3381.
Zecs concernées par l'échantillonnage |
Zec Bras-Coupé-Désert |
Zec Buteux-Bas-Saguenay |
Zec Cap-Chat |
Zec Capitachouane |
Zec Casault |
Zec Chapais |
Zec Chauvin |
Zec d'Iberville |
Zec de L'Anse-Saint-Jean |
Zec de la Rivière-aux-Rats |
Zec des Anses |
Zec des Martres |
Zec des Passes |
Zec Bas-Saint-Laurent |
Zec du Lac-de-la-Boiteuse |
Zec Dumoine |
Zec Festubert |
Zec Forestville |
Zec Labrieville |
Zec Lac-au-Sable |
Zec Lac-Brébeuf |
Zec Lesueur |
Zec Maganasipi |
Zec Mars-Moulin |
Zec Martin-Valin |
Zec Mitchinamecus |
Zec Nordique |
Zec Onatchiway - Est |
Zec Owen |
Zec Petawaga |
Zec Pontiac |
Zec Rapides-des-Joachims |
Zec Restigo |
Zec Saint-Patrice |
Zec Varin |